Par Hubert KALAMBA
Dans le souci de perfectionner la nouvelle loi électorale pour une élection transparente, apaisée, que le groupe de 13 députés nationaux a sollicité une durée de trois jours pour répondre aux préoccupations des leurs collègues députés, lors de la plénière tenue à l'Assemblée nationale mardi 26 avril. Au cours de ce débat démocratique, plus ou moins 90 interventions ont été enregistrées pendant trois jours consacrés essentiellement au débat sur la révision de la loi électorale.
« Des questions importantes ont été posées. Il s’agit d’une réforme majeure pour notre démocratie. On va y travailler pendant les 72 heures pour apporter des réponses claires, évidentes et donner aussi une méthodologie pour voir comment est-ce qu’on peut bâtir ce fameux consensus sous les points d’accord. Les convergences, il y en a eu énormément sur un tas de questions. Et puis (il s’agira lors de nos réponses, ndlr) de dire quelles sont les gaps que nous voulons atteindre avec ce processus électoral. Parce que, le maître mot de cette réforme c’est la transparence et la traçabilité des résultats. Ça, il faut l’obtenir”, a-t-il déclaré Delly Sessanga, co-auteur de ladite proposition ».
Signalons que la question sur de suppléance familiale, la discrimination positive en faveur des candidatures féminine et le mode de scrutin ont été au centre de débats de cette plénière.
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