Rumeurs contre la Première Dame : l’Ambassadeur Jean Thierry Monsenepwo rétablit la vérité

Hubert KALAMBA

Depuis plusieurs semaines, une campagne malsaine s’intensifie : rumeurs, mensonges et intoxications ciblent la Première Dame, Denise Nyakeru Tshisekedi. Chaque semaine, de nouvelles accusations inventées circulent : détournements imaginaires, privilèges supposés, scénarios fictifs. Sans preuves, sans cohérence.

Ces attaques ne sont pas anodines : elles visent en réalité le Chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour fragiliser son projet de paix, de stabilité et de dignité nationale.

Pendant que certains s’acharnent dans la calomnie, la Première Dame agit. Avec son programme ACADEMIA, elle lutte contre l’abandon scolaire, soutient la scolarisation des filles, accompagne les enfants vulnérables et redonne espoir à des milliers de familles. Son engagement est une lumière dans un pays marqué par les séquelles de la guerre et de la pauvreté.

Mais plus une figure publique agit avec sincérité, plus elle dérange. Ce n’est pas nouveau : Michelle Obama, Brigitte Macron, Olena Zelenska ont aussi été victimes de campagnes haineuses. Aujourd’hui, le même schéma se répète à Kinshasa.

Le peuple congolais, lui, n’est pas dupe. Il voit une Première Dame proche du peuple, active dans les écoles, les hôpitaux, auprès des orphelins et des mères vulnérables. Il sait que derrière chaque rumeur se cache la peur du changement.

En vérité, la calomnie est l’arme des faibles. Aucune rumeur ne peut effacer une œuvre utile. Aucune haine n’éteindra une lumière sincère. Denise Nyakeru Tshisekedi, par son action sociale, écrit chaque jour une page de l’histoire du Congo, aux côtés d’un Chef de l’État engagé pour la paix et la stabilité.

L’heure est venue de dire : non à la manipulation, non à la désinformation, non à la destruction morale des symboles nationaux. Défendre l’honneur de la Première Dame, c’est défendre la dignité de la femme congolaise et l’unité de la République.