Par Joël KEMBONGO
C'est en effet, ce mercredi 20 Avril à l'assemblée Nationale le débat sur la loi électorale , la dynamique pour une sortie de crise ( Dysoc ) de Jean Pierre Lisanga Bonganga appelle le G13 à l'initiative de la proposition de cette loi en cours de discussion à retirer celle-ci pour éviter au pays toutes sortes de crises pré ou post- électorales. Le coordonnateur de la Dysoc privilegie surtout l'hypothèse d'un dialogue entre les parties prenantes au processus électoral,et ce, hors des instances institutionnelles.
« La Dysoc interpelle les compatriotes du groupe G13 dont l'un d'eux est initiateur de la proposition de loi a honoré la mémoire de feu honorable Henri Thomas lokondo qui fut également défenseur de cette proposition de loi, l'homme de consensus, l'homme de compromis et non de compromission et a n'est pas présenter les textes dans une salle totalement composer des députés de l'Union dit sacrée de la nation, mais de le faire en présence de toutes les parties prenantes au processus électoral. Le temps est venu pour toute la classe politique congolaise de saisir la balle au gan en vue de poser les balises devant permettre l'atterrissage en douceur de processus électoral au travers la levée par consensus entre toutes les parties prenantes, des options fondamentales », a dit, jean pierre Lisanga Bonganga le coordonnateur de la Dysoc, dans une déclaration faite à Kinshasa
Du côté de l'Union sacrée, on affirme qu'il y'a pas une crise, a dit fiyo ndondo bony, président du parti orange, membre de l'Union sacrée, il invite par ailleurs, les députés nationaux de l'opposition de regagner l'hémicycle pour engager le débat autour de cette question.
« Mais aujourd'hui il y'a pas une crise majeure qui puisse permettre à ce que les différents échanges se fassent hors de cadre institutionnel, nous saluons la sagesse du président de l'AN qui a laissé une porte ouverte, demander à tout les amis qu'ils reviennent, c'est ici l'occasion pour le parti orange de lancer cet appel à la maturité, c'est vrai que la démocratie, c'est la question de la majorité mais une minorité pertinente peut changer les donnes , donc j'invite l'opposition de revenir est d'argumenter, ça va aider la République à aller de l'avant.
Par rapport à la loi électorale, il y'a les points importants,nous inscrivons à la pensée de chef de l'état, il a souhaité pour que le gouverneur aie une véritable légitimité,qu'il soit élu au premier degré, et à la question du seuil également, cette question devrait être régler, parcequ'on se retrouver dans les circonscriptions où sont les personnes moins élus qui se retrouvent comme représentant de peuple, et pourtant il n'ont pas été correctement élu au nom du seuil, ily'a la question également de la causion électorale, où nous souhaitons a ce que, cette causion rentre dans la situation de liste pour permettre a ce que la majorité des acteurs politiques puissent participer aux différentes élections » s'est il exprimé, fiyo ndondo bony président du parti orange membre de l'Union sacrée.
Il revient à l'assemblée nationale de fixer l'opinion sur cette matière à travers la plénière consacrée à l'examen de la proposition de loi électorale.
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