Journée internationale de la femme : « La femme est un canal de paix » Magdallah KASONGA

Hubert KALAMBA

Le 08 mars de chaque année le monde entier célèbre la Journée Internationale de la Femme (JIF), pour cette année 2024 les femmes de la République Démocratique du Congo vont fêter leur journée avec le Thème : « Education numérique égalitaire pour la paix et l'autonomisation des femmes et des filles en RDC », telle est la thématique retenue par ONU Femme.

Lors de son passage dans une chaine de télévision de la place, la coordonatrice internationale des enfants des militaires, policiers ou gendarmes dans l’espace francophone, Magdallah KASONGA a considéré la femme comme un » canal de paix «, ella a saisi l'occasion pour exposer les difficultés que traverse la femme congolaise en général et les épouses des militaires en particulière au sein de la société.

La coordonatrice internationale des dépendants des militaires et policiers veut booster le jeunes filles de sa communauté, qui sont mal réputée a cause de statut de leur père ou mère.

« Le but de notre lutte est de bosser les jeunes filles qui sont beaucoup plus utilisé, sans pour autant tenir compte que les jeunes filles de militaires et policiers sont plus intelligentes et elle peuvent apporter un plus dans la société congolaise. Dans notre secteur, il y a beaucoup de entrepreneuses , malheureusement les moyens financiers fait défaut », a révélé Magdallah kasonga.

D'après Magdallah KASONGA, la femme est une éducatrice, la femme donne le sens, la femme construit.

« Dans la femme il y a plusieurs resources, quand une femme est à l’aise, elle produit beaucoup de choses, pour moi la femme, c’est un canal de paix, tout comme aussi de destruction. Si une femme peut détruire, donc une femme peut aussi construire, la femme peut apporté la paix là où l y a la guerre, il suffit juste de la mettre à l’aise », a-t-elle ajouté.

Magdallah KASONGA, candidate malheureuse aux élections législatives nationales du district de Lukunga, elle était également parmi les jeunes qui ont été arrêtés à Addis-Abeba lors du 39e sommet des chefs d'États Africains, rapprlle-t-on.